L'ancienne API de recherche Google annoncée "deprecated" il y a 3 ans est depuis hier effectivement inutilisable.
C'est tragique, car cela implique de supporter de la publicité ou de payer ce service de recherche au nombre de requêtes.

La solution a été trouvée cette nuit : une base Mysql qui se peuple hebdomadairement depuis le sitemap principal. (Oui, il y a des sitemaps secondaires sur Toxiplante).

Le service est donc indépendant des exigences de Google.
Certes il n'y a plus de résumé, mais la recherche gagne en précision grâce aux opérateurs booléens MySQL.

La maison n'avait effectivement pas besoin de volets.
C'est nous qui devions réapprendre à ouvrir les yeux.

Il suffisait d'un répit entre amis (et d'un bon coach, Pierre) pour retrouver confiance en la vie.
Le bonheur, c'est simple comme une coupure réseau.

Les informations ci-dessous sont approximatives car de niveau amateur, c'est à dire qui aime sans se prendre (trop) la tête.

La grande ouverture des derniers objectifs intégrés sur les smartphones permet de réduire la profondeur de champ, c'est à dire la zone de netteté. A cela s'ajoute la stabilisation qui certes évite le flou de bougé en basse lumière, mais ne fige pas les mouvements des sujets photographiés.

Les flous plus ou moins artistiques (qualité du bokeh ou plus souvent du bruit...) et opportuns (utilité du flou sur la photo) envahissent donc le web.
C'est un excès compréhensible après des années d'appareils numériques qui présentaient trop de profondeur de champ.

On en a oublié (moi le premier) qu'un flou d'arrière-plan est surtout utile pour les portraits.
Par ailleurs, un objectif pique souvent au maximum entre f/4 et f/5,6. On peut même fermer le diaphragme sans diffraction jusqu'à f/11 (quand les conditions le permettent) ce qui augmente la zone de netteté (le plus souvent 1/3 devant la mise au point, 2/3 derrière).

Mais l'arme anti-flou la plus efficace est l'hyperfocale : quand on fait la mise au point sur la distance hyperfocale, tout devient (à peu près) net de la moitié de cette distance jusqu'à l'infini.

Il existe plusieurs moyens de la calculer grâce aux valeurs sur certains objectifs, la formule universelle de calcul avec le cercle de confusion ou les calculatrices (DOF Calculator par exemple). Mais il faut faire plus simple puisque la priorité est d'évaluer la distance et... se déplacer.
Le graphique ci-dessous permet de retrouver les distances hyperfocales facilement. Il suffit d'apprendre la courbe à f/2,8 puisque toutes les autres se déduisent en divisant par 2 (courbe f/5.6), par 3 (f/8) et par 4 (f/11). A f/4, on divise par 3 et multiplie par 2.

C'est très approximatif mais la distance évaluée dans le feu de l'action aussi :)

J'aurais du y penser avant, désolé !
Tous les blogs chargent désormais automatiquement les articles précédents lorsqu'on atteint la fin de page.
J'ai du voir ça sur un vieux site qui s'appelait Facebouk.

Remerciements à Paul Irish et Luke Shumard.

http://infinite-scroll.com/

Et quand on est en bas de page, on peut remonter élégamment grâce à Devin Sturgeon.
C'est un vrai plaisir de cliquer sur "haut de page" de Toxiplante :)

La base publique du site toxiplante vient de passer en version 3.0.
La mise à jour apporte (enfin!) l'accès aux risques par contact, ce qui justifie le changement majeur de version.

Les différents noms vernaculaires sont également disponibles mais uniquement sur les monographies.
Il n'est en effet pas envisageable de les faire figurer en index tant ils sont nombreux et désignent souvent des plantes complètement différentes.
J'ai sollicité un passage de GoogleBot pour que ceux-ci soient accessibles par recherche directe.
www.toxiplante.fr

Pour ceux qui veulent photographier ces plantes, le jardin des plantes toxiques des Récollets est ouvert du lundi au vendredi.
www.ethnopharmacologia.org

Tout à côté, le "bad" jardin de l'artiste et botaniste Liliana Motta est également accessible au FRAC du mardi au dimanche.
Mais jusqu'au 20/10, attention de ne marcher sur les œufs de l'installation "entrevidas". Il y a 10 assassins par jour !
www.fraclorraine.org

Les nouveautés et les mises à jour vont pleuvoir en septembre.
Mais il ne faut pas passer à côté de Ghost, disponible pour les souscripteurs à partir du 20.

Ghost est un blog moderne, gratuit, ouvert à tous, créé par besoin et surtout par passion.

John O'Nolan n'est pas le premier venu et a une vision "originelle" du web.
Il laisse à d'autres les ventes par millions sur Facebook. Bravo !

http://tryghost.org

Je vote [Non] à l'étalage et à la surenchère narcissique.
Je vote [Oui] à la réconciliation avec les bonheurs authentiques et simples de la vie.



Facebook est le pire outil de communication jamais créé par l'Homme. ll confond les échanges familiaux, amicaux, professionnels et commerciaux.
Facebook est le pire site de partage de données, en particulier de photos.
Facebook est le pire outil de diffusion : il n'y a aucun contrôle sur la liste des abonnés et confirmation de réception.
Facebook n'est pas un forum de discussions (filtres, modérations).
Facebook n'est pas un outil de travail collaboratif, sauf à vouloir affirmer que les "j'aime" ou "j'aime pas" sont constructifs…
Facebook est graphiquement hideux, inesthétique, dépassé et pollué par des publicités toutes aussi laides.

Toutes les Timeline ont une fin.
J'espère qu'au moins certains seront fiers des contributions qu'ils auront léguées aux autres.
J'espère aussi qu'ils ne regretteront pas le temps passé à enrichir Mark Zuckerberg, ses sbires, publicitaires et actionnaires.

Bon, qui veut prendre un café ou un thé vert bio et éthique ?

Il y a des blogs qui marquent les esprits et sont des sources d'inspiration inépuisables.
FOUND, célébrant les 125 ans de National Geographic, est incontournable.
http://natgeofound.tumblr.com

PHOTOGRAPH BY JOE SCHERSCHEL, NATIONAL GEOGRAPHIC

Bravo Florence, quel spectacle cette année !

Après le départ de Steve Jobs, l'Humanité a connu une période de profonde médiocrité et de doutes.
Cette sombre période est révolue, sauf dans ce triste pays mal administré qu'est la France.

Au delà de nos frontières, la recherche de la perfection et le dépassement de soi sont à nouveau au centre des préoccupations.
6 millions de développeurs à travers le monde se remontent les manches pour le meilleur et pour tous.

Merci à Tim Cook et Sir Jonathan Ive de nous montrer la voie.

Bradfox Cox mène un combat contre la malchance depuis sa conception.
L'orientation Punk et les provocations sont évidemment exutoires.
Dommage, moins en retenue, l'album perd en cohérence.

The missing est effectivement un titre oublié sur l'album Halcyon Digest (avec THM).
Le titre est mélodieux mais les paroles ne me touchent pas.
Je laisse aux autres la folie de s'ouvrir et se faire mettre en pièces pour comprendre leur manque.

Je retrouve par contre les envolées nostalgiques de Desire Lines dans Punk (La vie antérieure).
Et si tout l'album ne servait que ce dernier titre ?

[Unless][Atoms for Peace]

Les œuvres de Thom Yorke ne sont pas faciles à appréhender et ne se laissent jamais apprivoiser.

A la première écoute de « Unless », comme d’habitude, on se dit que Thom et Nigel Godrich sont allés encore plus loin dans « l’assemblage ».

La sortie de l’ombre et la verbalisation de l’obsession commence à 1:27. Et on s’envole...
Après la nostalgie de la simplicité tribale (flashback sur King of Limbs à 2:24, platine et cerveau sont rouillés), les déchirements de l’âme, les ruptures du temps (passé/présent), des rythmes (afro-beat/électro), de l’état de matière (organique/minéral) deviennent audibles.

On finit dans un autre état, pas forcément d’apaisement (puisque l’on continue à se répéter que l’on en a rien à faire), mais d’acceptation et sans doute de résignation (I know it’s you, I guess / Couldn’t care less).

Jusqu’où iront-ils dans leurs expérimentations, qui dépassent largement le cadre musical ?

http://atomsforpeace.info

Merci à Michael pour le script menu button : Mathilde mérite bien cette mise en lumière des pages de son site.
Merci à Jonathan pour son expertise dans les problèmes de redirection iFrame d'OVH.

Darc un jour s’est envolé, trop haut ses ailes ont brûlé.
Darc est alors retombé, écorché, le cœur brisé.
Darc s’est ensuite consumé, en regrets à oublier.

Fallait pas te tourmenter. Se seraient-elles excusées ?
Fallait pas les sanctifier, surtout les endommagées.
Là-haut, faudra les virer. T’inquiète, Bashung va t’aider.

Oui, si seulement elles savaient, quelle grande âme nous a quittés.


D’après la playlist :
C’était mieux avant // La taille de mon âme // Les filles aiment les tatouages // Sois sanctifié // La pluie qui tombe

jQuery est une bibliothèque de fonctions javascript très utilisée.



Le 16 janvier, la version 1.9 a été « poussée » sur les serveurs google.

Pour la première fois, beaucoup de fonctions annoncées obsolètes (deprecated) depuis quelques mois ont été effectivement retirées.
Comme beaucoup, je pensais que ces retraits ne seraient effectués que dans la version 2.0.
Cette décision est lourde de conséquences pour les scripts 1.X.X. Elle a clairement pour objectif de « forcer » la réécriture pour jQuery 2.0.

Mais il ne suffit pas de réécrire quelques lignes de code ou d’utiliser le plugin migrate proposé. Les fonctions sont inter-dépendantes et un code, même propre, doit parfois contenir des « hacks » pour compenser les particularités (bugs) des navigateurs.

Un exemple est l’excellent refineslide (https://github.com/alexdunphy/refineslide) qui utilise imagesloaded (https://github.com/desandro/imagesloaded). Imagesloaded était déjà affecté d’un bug sous Internet Explorer 9 et 10 (hack WebKit). Il est à présent inutilisable sous 1.9.

La meilleure réponse à apporter est de rester en version jQuery 1.8, riche et stable, et de préparer la migration en 2.0 voire 2.1 sereinement.
La version 1.9 n’apporte rien, à part les incompatibilités de la 2.0.